Homme invisible, pour qui chantes-tu?

Dans le cadre de l’exposition “Color Line, Les artistes africains-américains et la ségrégation” (du 4 octobre 2016 au 17 janvier 2017), au musée du quai Branly - Jacques Chirac, Sara Darmayan et Steve Pots vous font découvrir des extraits du roman de Ralph Ellison, “Homme invisible, pour qui chantes-tu?”, avec quelques poèmes de Langston Hughes et Paul-Laurence Dunbar.

Durée, 45minutes

Paul Laurence. Dunbar, "“We Wear the Mask.”, dans “The Complete Poems”, Book jungle, 2008

Ralph Ellison, “Homme invisible, pour qui chantes-tu?”, Bernard Grasset, 2002

Countee Cullen, “My Soul’s High Song: The Collected Writings of Countee Cullen”, Doubleday, 1991

Langston Hughes : choix de textes Hughes, P. Seghers, 1964

« Je suis un homme qu’on ne voit pas. Non, rien de commun avec ces fantômes qui hantaient Edgar Allan Poe ; rien à voir, non plus, avec les ectoplasmes de vos productions hollywoodiennes. Je suis un homme réel, de chair et d’os, de fibres et de liquides – on pourrait même dire que je possède un esprit. Je suis invisible, comprenez bien, simplement parce que les gens refusent de me voir. »
— Ralph Ellison
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